Envouté stellaire

Publié le par Hugo

C’est encore un soir de vide, de vide sidérant,


Hier mille étoiles brillaient et affichaient leurs sourires radieux,


L’heure est venue du retour sur Terre où mes mots se perdent,


Astre au logis, ton anneau te satures,


Et le mont de Vénus n’est plus qu’un lointain souvenir.


C’est le nom de Zeus, que tu profanes avec l’indifférence


d’un passant dépressé.


Qui entendras l’appel de ma forêt couchée.


Un jour je serai aux confins de la galaxie,


moi aussi, inaccessible étoile.

Publié dans foule sentimentale

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